“La camaraderie dans la cuisine japonaise” dont le but est les échanges techniques et culturels entre les chefs japonais et les chefs étrangers est un événement tendant à se normaliser dans le monde gastronomique qui en est à sa 4ème édition cette année.

Lors des 3 précédentes éditions, plusieurs programmes de cuisine japonaise ont permis à des chefs, des producteurs de légumes et des pâtissiers français de venir au Japon et de faire la visite de cuisines de restaurants anciens, de rencontrer des producteurs et artisans locaux et de participer à un stage en rapport avec la cérémonie du thé.

Beaucoup de jeunes cuisiniers japonais ont pu aussi fort apprendre lors de leur rencontre avec les invites français.

L’édition de cette année, basée sur les expériences précédentes, désire mettre en place une “occasion mondiale visant à comprendre correctement la cuisine japonaise et la culture gastronomique” et tente d’accueillir en nombre des participants d’ici et d’ailleurs quel que soit leur nationalité.

Cette année, le “programme de formation à la cuisine japonaise” en est sa 3ème édition”.

Au sein du succès de la cuisine japonaise, à partir du manque de communications concernant la cuisine japonaise dans le débordement des nombreux restaurants japonais, a été mis en place un atelier visant à répondre aux cours de cuisine japonaise donnés aux étudiants en cuisine française, aux chefs français et à la presse.

Chaque année, la presse locale s’intéresse grandement à cet événement. Cette année, non seulement en France, l’organisation d’événements culinaires relatifs à la cuisine japonaise se fera dans les pays intéressés.

Toutes les clauses nécessaires seront disponibles sur le site internet après décision.

L’Académie de cuisine japonaise et la commission d’éducation de la ville de Kyoto organise chaque année depuis 2005 le “curriculum éducatif alimentaire que l’on apprend dans la cuisine japonaise”.

Les cuisiniers membres de l’Académie deviennent les professeurs et enseignent aux enfants des écoles primaires de Kyoto la saveur du “dashi” ou “bouillon”, base de la cuisine japonaise né de l’alliance d’algues et de bonite séchée râpée.

Les enfants posent des questions sur le “dashi”, prennent de leurs mains les algues et les râpures de bonites séchées pour en connaître la sensation, puis les trempent dans une marmite remplie d’eau avant d’en extraire le bouillon et le goûter… Le but de cette expérience est de, tout en faisant augmenter l’intérêt des enfants pour les aliments, transmettre l’importance de manger tout en faisant travailler ses 5 sens à l’aide d’ingrédients et de développer et poursuivre les traditions culturelles.

En parallèle à cela, il y a le désir fort de mettre fin à l’éloignement des enfants de la cuisine japonaise.

Ces activités sont très appréciées chaque année et sont reprises par nombre de journalistes.

En vue d’une régularisation de ces activités, à partir de cette année,les activités culinaires au sein des crèches, jardins d’enfants et écoles primaires sont à l’étude.

Les textes et DVD terminés l’année dernière ont été distribués à toutes les écoles primaires de la ville de Kyoto, davantage de cours et de stages pour les instituteurs sont mis en place et même le soutien des instituteurs ne faisant pas partie de la commission est demandé.

En vue de la réitérer chaque année, nous avons initié à partir de 2009 les préparatifs de la “compétition de cuisine japonaise”, événement et premier concours d’envergure nationale destiné aux professionnels de la cuisine japonaise.

La première session dépassa toute attente en accueillant 160 participants garants de la cuisine japonaise “contemporaine” permit à ces derniers d’approfondir leurs relations mutuelles, améliorer leur technique et de penser d’ores et déjà à leurs prochaines creations.

En vue de la deuxième session, un programme dirigé sur deux ans débuta en 2008 afin de permettre en 2009 les annonce, les entrées, les sélections locales et la finale.

Nous nous efforçons de faire de cette competition de cuisine japonaise un concours reconnu à juste titre par la société.